Sur une idée incroyablement astucieuse, la joie de vivre d’un grand comique renaît.
Un couple de danseurs auditionnés par Bourvil bondit du Hip-Hop à la valse, du tango au break-dance pour revisiter avec talent son répertoire. Ces deux interprètes nous plongent dans une jolie petite histoire comme un doux refrain permanent où le rire et l’émotion prennent place magnifiquement au côté d’André Raimbourg.
Pour ce duo très capé (lui a dansé chez Béjart, elle chez Montalvo), il s’agit de créer un spectacle…enfin, pour commencer, car très vite ce pas de deux jamais classique deviendra une cour amoureuse qui invite, à la voix, Monsieur Bourvil. On y danse sur le son pur puis remixé du Petit bal perdu, on rêve d’un Clair de Lune à Maubeuge. Le spectacle vient dire au jeune public dès sept ans que le geste rap se niche dans la danse de bal.
On est ici dans un art populaire sublimé qui vient toucher la corde sensible des accompagnateurs qui ont l’age d’avoir des parents ou des grands- parents qui ont vraiment rencontré l’amour au bal perdu
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